Alexandre Pierre Albert

Studio No³/ nocube.
photography, styling, staging, story telling...

Studio No³/ nocube
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Bleu comme une femme
En librairie (Payot / FNAC) dès le 15 novembre 2023
Au Edition de l'Aire / commandes et pré-commandes >>

« Bleu comme une femme » c’est une série de contes imagés inspirés par des lieux imaginaires et des corps irréels. Une trentaine d’histoires peintes à la lumière ambiante; une succession de mise en scène narrant le temps qui passe et les lieux qui disparaissent au loin. Du métro New Yorkais aux berges lémaniques, de Zürich à Los Angeles, ces contes épars, comme autant de propositions, sont une invitation à la rêverie et une incitation à regarder au-delà de l’évidence photographiée.

Avant gout en Pdf >>

Bleu comme une femme
En librairie (Payot / FNAC) dès le 15 novembre 2023
Au Edition de l'Aire / commandes et pré-commandes >>

« Bleu comme une femme » c’est une série de contes imagés inspirés par des lieux imaginaires et des corps irréels. Une trentaine d’histoires peintes à la lumière ambiante; une succession de mise en scène narrant le temps qui passe et les lieux qui disparaissent au loin. Du métro New Yorkais aux berges lémaniques, de Zürich à Los Angeles, ces contes épars, comme autant de propositions, sont une invitation à la rêverie et une incitation à regarder au-delà de l’évidence photographiée.

Bel-Orne 32
Dernier appel avant démolition
Last call before demolition

Qu’est-ce un immeuble sans future ? Un lieu vide, absent, un passé presque effacé.

Une pièce vide n’a pas de sens, pas d’âme et pas de couleur. Vide, vidé, un lieu garde néanmoins comme un souvenir de ce qui fût.

Le bâtiment courre sur son erre; les bruits, les gens, les âmes qui l’ont habité sont toujours là; un peu moins chaque instant qui passe, mais toujours là quand même.

L’horizon à l’envers; les murs exsudent le bruit des machines, les bureaux l’écho lointain de conversations téléphoniques.

Disquettes et balai, un Polaroïd, une burette d’huile, posters et moquette tâchée, un escabeau et une pince crocodile. Une pharmacie vide, un mur bleu ciel et des rideaux propres. Du carrelage souillé d’huile de vidange, le vide béant laissé par une machine disparue, un ascenseur vert, un escalier jaune, une cuisine orange et brune.

Des bureaux avec un air de “comme chezmoi” attendrissants et beiges; double hauteur, des halles au murs blancs prêts pour un dernier chargement qui ne viendra plus.

Avant la fin, avant cette fin, un dernier tour, une dernière danse ? Une clé, sept espaces, huit modèles. Addendum, huit gouttes d’âme jetées sur les murs, huit scènes, absurdes, pourquoi pas ?

Un hommage, peut-être, une révérence. Adieu Bel-Orne 32, et merci pour le voyage.

Un adieu, sans drame, sans pleurs et sans regrets; si le bâtiment s’en va, Bel-Orne 32 reviendra. Bientôt, le béton deviendra jardins, le bruit des machines bruits de conversation. Un autre lieu pour un autre temps; le futur, oui, on va remettre l’horizon devant.

Bel-Orne 32
Dernier appel avant démolition
Last call before demolition

Qu’est-ce un immeuble sans future ? Un lieu vide, absent, un passé presque effacé.

Une pièce vide n’a pas de sens, pas d’âme et pas de couleur. Vide, vidé, un lieu garde néanmoins comme un souvenir de ce qui fût.

Le bâtiment courre sur son erre; les bruits, les gens, les âmes qui l’ont habité sont toujours là; un peu moins chaque instant qui passe, mais toujours là quand même.

L’horizon à l’envers; les murs exsudent le bruit des machines, les bureaux l’écho lointain de conversations téléphoniques.

Disquettes et balai, un Polaroïd, une burette d’huile, posters et moquette tâchée, un escabeau et une pince crocodile. Une pharmacie vide, un mur bleu ciel et des rideaux propres. Du carrelage souillé d’huile de vidange, le vide béant laissé par une machine disparue, un ascenseur vert, un escalier jaune, une cuisine orange et brune.

Des bureaux avec un air de “comme chezmoi” attendrissants et beiges; double hauteur, des halles au murs blancs prêts pour un dernier chargement qui ne viendra plus.

Avant la fin, avant cette fin, un dernier tour, une dernière danse ? Une clé, sept espaces, huit modèles. Addendum, huit gouttes d’âme jetées sur les murs, huit scènes, absurdes, pourquoi pas ?

Un hommage, peut-être, une révérence. Adieu Bel-Orne 32, et merci pour le voyage.

Un adieu, sans drame, sans pleurs et sans regrets; si le bâtiment s’en va, Bel-Orne 32 reviendra. Bientôt, le béton deviendra jardins, le bruit des machines bruits de conversation. Un autre lieu pour un autre temps; le futur, oui, on va remettre l’horizon devant.

Disponible dès décembre 2020 sur amazon

Polaro!d

Surprisingly, as we are living, more and more in the instant; instant messages, instant gratification, instant reaction... we almost forgot what an instant used to be, what an instant use to mean.

Polaroid, thank you Mr. Land, captured your soul in an instant; your soul and the rest. The rest being all the imperfections that make the background of our lives. The car passing by; the walker and his dog, stopping for a pee, just during that really unique captured moment; that ray of light seeping through the blinds, inadvertently obscured by a 747 flying East.

All these imperfections we wanted out of our perfect pictures, are, in fact the core of our perfect memories. All these imperfections that are, ultimately, after many cursing and resignation, life; life after all.

Episodic stories available as ebook on Amazon >>

Polaro!d

Surprisingly, as we are living, more and more in the instant; instant messages, instant gratification, instant reaction... we almost forgot what an instant used to be, what an instant use to mean.

Polaroid, thank you Mr. Land, captured your soul in an instant; your soul and the rest. The rest being all the imperfections that make the background of our lives. The car passing by; the walker and his dog, stopping for a pee, just during that really unique captured moment; that ray of light seeping through the blinds, inadvertently obscured by a 747 flying East.

All these imperfections we wanted out of our perfect pictures, are, in fact the core of our perfect memories. All these imperfections that are, ultimately, after many cursing and resignation, life; life after all.

Episodic stories available as ebook on Amazon >>

I don't like flowers 1/3 - A tale on deceiving appearances

An illustrated tale; Inspired by a bee sting, the tenderness of a flower bud and the humming of the coming summer. A pastoral promenade in a field of wild flowers with a detour around an old discarded fridge.

Un conte illustré; Inspiré par une piqûre d’abeille, la douceur d’un bouton de coquelicot, le bourdonnement d’un été approchant. Une promenade pastorale avec un détour autour d’un frigo abandonné.

64pages color US$ 24.79 Available on Blurb >>

I don't like flowers 1/3 - A tale on deceiving appearances

An illustrated tale; Inspired by a bee sting, the tenderness of a flower bud and the humming of the coming summer. A pastoral promenade in a field of wild flowers with a detour around an old discarded fridge.

Un conte illustré; Inspiré par une piqûre d’abeille, la douceur d’un bouton de coquelicot, le bourdonnement d’un été approchant. Une promenade pastorale avec un détour autour d’un frigo abandonné.

64pages color US$ 24.79 Available on Blurb >>

I don't like flowers 2/3 - A tale on deceiving appearances

- What do you want me to be ?
- the farmer’s daughter, an afterthough, a probable cause, nothing and everything, the center of a world and its moon, more than you but not quite, a daisy in black and white.”
- Oh, I see. I will just be me, then.
- The flowers...
- Yes, give them to me.

L’été passé; un orage, les blés chahutés. Cours, à l’abri! Une ferme abandonnée, sa grange avachie, un chien à trois pattes. La pluie, rideau tiède, assourdissant; mais de quelle couleur sont donc ses yeux ?

44pages Black & white Available soon on Blurb >> >>

I don't like flowers 2/3 - A tale on deceiving appearances

- What do you want me to be ?
- the farmer’s daughter, an afterthough, a probable cause, nothing and everything, the center of a world and its moon, more than you but not quite, a daisy in black and white.”
- Oh, I see. I will just be me, then.
- The flowers...
- Yes, give them to me.

L’été passé; un orage, les blés chahutés. Cours, à l’abri! Une ferme abandonnée, sa grange avachie, un chien à trois pattes. La pluie, rideau tiède, assourdissant; mais de quelle couleur sont donc ses yeux ?

44pages Black & white Available soon on Blurb >> >>

Moving places

Spaning through the last decade, "moving place" is a collection of short stories.

Empty places for rent or to take freely; souless spaces that once inhabited spring on to life. What life and what purpose, it is all for the viewer to guess.

Out of print; ebook soon available on Amazon. 120pages, color and black & white

Moving places

Spaning through the last decade, "moving place" is a collection of short stories.

Empty places for rent or to take freely; souless spaces that once inhabited spring on to life. What life and what purpose, it is all for the viewer to guess.

Out of print; ebook soon available on Amazon. 120pages, color and black & white

Colombine

Colombine... In fact the dress and the persona is just an excuse to place a stereotype out of its context.
What we see, what we are conditioned to see is often more an illusion than reality, but what if you take an illusion and make another one with it ?

Out of print; ebook soon available on Amazon. 64pages, color and black & white

Colombine

Colombine... In fact the dress and the persona is just an excuse to place a stereotype out of its context.
What we see, what we are conditioned to see is often more an illusion than reality, but what if you take an illusion and make another one with it ?